Il était donc un blog, et celui-ci fit ses premiers pas malhabiles à la fin de l’année 2006.
Jusqu’à la fin de cette même année, il a été question de Alexander’s Lovers (de Andrew Michael Chugg), de Féroces infirmes (Tom Robbins), de Raphaël Caedetti avec les Larmes de Machiavel, Le dragon sous la mer (Frank Herbert), Roger Zelazny avec L’enfant de nulle part, le premier tome de l’Histoire de la Terre du Milieu de l’immense Tolkien, ou encore La règle de Quatre (Ian Caldwell et Dustin Thomason). A ceux-ci s’ajoutent American Gods de Neil Gaiman, le grand cycle de l’Histoire du Futur (Robert Heinlein), le beaucoup moins bon Apportez-moi la tête du Prince Charmant (R. Zelazny et Robert Sheckley, la première grosse déception), la tétralogie du Lion de Macédoine (David Gemmell), un autre Tom Robbins avec Mickey le Rouge, ainsi que le tout début du cycle de la Compagnie Noire de Glen Cook.
Dès le premier mois de son existence, casalibri.blog.fr a vu dans ses lignes son premier ballet produit par l’Opéra du Rhin avec le Prince des Pagodes, chorégraphié par Bertrand d’At sur une musique de Benjamin Britten.
Mais le livre reprend vite ses droits avec Orson Scott Card et son Comment écrire de la fantasy et de la science-fiction. Dan Brown (Anges et démons)aussi est à compter parmi les sujets des premiers sujets (tout comme les oeuvres de Robbins, c’est Vincent Tim qui a écrit cette chronique). Xavier Mauméjean avec Car je suis Légion, Nicolas Bouchard et son Empire de Poussière, N. Gaiman à nouveau (Miroirs et fumée), Brian Michael Bendis et Marc Andreyko avec Torso, Paul J. McAulay avec son steam-punk toscan Les conjurés de Florence ferment presque la marche de ce décembre peu être très productif mais encore bien mal fagoté.
La politique n’est plus ce qu’elle était de René Rémond vient ajouter un peu de sérieux tout en cloturant l’année 2006, et sans doute entamer le long chemin avec une maturité encore lointaine.
L’année complète, avec les articles et leurs commentaires, en pdf : Casalibri2006